Comme tous les engins volants, un appareil ultra-léger est soumis aux règles de la circulation aérienne. Ces règles sont appelées "règles de l'air" et sont limitées au mode dit de "vol à vue". (Vol durant le jour aéronautique, 1/2h avant le lever et 1/2h après le coucher du soleil, en dehors des nuages, avec une visibilité minimale et la vue du sol)
Dès 1975 apparaissent les premiers prototypes d'appareil ultra-léger. Le premier appareil commercialisé (un pendulaire), le Mosquito, est dû au français Roland Magalon en 1979.
Les appareils ultra-léger sont les suivants :
Très proche de l'avion auquel il ressemble, la légèreté de l'appareil propose cependant des sensations de vol plus marquées et une sensibilité accrue semblable à celle du vol en planeur. Sa maniabilité et ses possibilités de vol à faible vitesse en font un appareil très adapté à la promenade et à la photographie aérienne.
Il existe des modèles d'appareils haut de gamme très performants (250 km/h) pour un coût d'acquisition, d'entretien et d'usage plus faible que pour l'avion classique. L'appareil utilisé est moderne, non bruyant et privilégiant l'écologie. Il est équipé de radio avec intercom, système GPS, transpondeur, horizon artificiel, trim et volets électriques. Il possède des qualités STOL (Short Take-Off and Landing).
La catégorie "ultra léger multiaxes" répond à la définition suivante :